
Le prisonnier est comme un réfugié politique .
Enfermés et frustré , ses pensées sont prolifiques .
Loin d' être un cacique .
Il lit et s' abreuve de nombreux recueils philosophiques .
Ainsi que d' économies et de politiques .
Sans néanmoins negliger son physique .
Du sport , un minimum il pratique .
Exercant toutes activités pouvant lui eviter d' être neurasthénique .
Même la sieste qui n' est pourtant guère prosaique .
pour lui , le seul moyen d' évasion demeure l' onirique .
Même si ses rêves demeurent plus cauchemardesques que féeriques .
Il vit la consomption .
Sans l' amaigrissement en option .
Il s' habitue a vivre en autiste .
Et a devenir stoiciste .
Il n' apprécie guère qu' on lui refuse les promenades .
Ni de subir des rodomontades .
Dur d' être condamné a vivre dans un caisson .
L' incarcération fait perdre la raison .
Elle peut rendre claustrophobe .
Ou faire devenir agoraphobe .
Pas présent pour la perte et les malheurs des siens .
Est t' il libre de franchir les limites de sa contrition ? .
Sous l' emprise du syndrome de stockholm .
Il ne se voie plus en tant qu' hommes .
Mais plutôt tel une proie , livré a la justice des hommes .
By : Avilon Joel
Devoir de philosophie rendu le 4 fevrier 2008 .